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Lod94 a écrit:j'adore!!! je cite:
"La ligne 16 a pour objectif de désenclaver l’est de la Seine-Saint-Denis et de desservir un territoire de 775 000 habitants peu desservi en transports en commun. "
775 k hab dans la seine st denis Est!!! alors que le département est "officiellement a 1.8 millions d'hab(en 2020)! Et ils ont mis des formations a 3 voitures! A leur place j'aurais tablé plus sur 1.3 millions d'habitants car il y a aussi les rabattements et la desserte du 77 et des formations a 6 ou 8 voitures.
Et on connait le ratio:
"Lors des prolongements jusqu’au Parc des Expositions et Noisy-Champs, une fréquence en heure de pointe descendant à un peu plus de 2min sur le tronc commun, avec toujours une alternance 2 trains sur 3 sur la branche 16, et 1 train sur 3 sur la branche 17 pour coller au mieux aux prévisions de trafic."
soit sur la 16 des trains a 2min/2min et 6min et pour la 17 un train toutes les 9 min.
02
Juin
2023
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2023
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Le Parisien a écrit:Grand Paris Express : chargé de l’exploitation des lignes 16 et 17, Keolis voit son « savoir-faire reconnu »
Le groupe français, leader mondial des métros automatiques, a été officiellement désigné ce mardi par Île-de-France Mobilités. Pour sa présidente, Marie-Ange Debon, l’obtention de ce marché est la marque d’une reconnaissance en région parisienne, fief de la RATP, qui gèrera l’infrastructure.
C’est désormais officiel. Le conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (IDFM) s’est réuni ce mardi pour attribuer l’exploitation des lignes 16 et 17 au groupe Keolis. Le contrat d’environ 300 millions d’euros doit durer sept ans, à partir de juillet 2023, avec trois années de prolongation optionnelles. Il comprend la gestion, dès juin 2024, juste avant les JO de Paris, de la gare Saint-Denis - Pleyel, où s’entrecroiseront à terme quatre lignes du Grand Paris Express (14, 15, 16 et 17). L’exploitant de la ligne 15 Sud (Pont-de-Sèvres à Noisy-Champs) sera connu le 18 juillet 2023, a indiqué Valérie Pécresse (LR), la présidente d’IDFM.
Le contrat de Keolis comprend l’exploitation des lignes 16 (dix stations, de Saint-Denis - Pleyel à Noisy-Champs) et 17 (neuf stations, de Saint-Denis - Pleyel au Mesnil-Amelot), qui seront mises en service à partir d’octobre 2026.
Lors d’une conférence de presse, Valérie Pécresse a précisé les horaires d’exploitation. « Île-de-France Mobilités a fait le choix de privilégier pour l’offre une amplitude d’exploitation allant au-delà de celle du réseau historique et de répondre au fort besoin le matin dès 5 heures, permettant aux usagers des premiers trains de poursuivre leurs trajets sur les premiers trains du réseau historique à partir de 5h30, tout en maintenant le service jusqu’à 1h15 en semaine et 2h15 le week-end. »
En Île-de-France, Keolis emploie déjà 5 000 collaborateurs. Il opère 400 lignes de bus, des services de transport à la demande ou à destination des personnes à mobilité réduite. Le groupe est aussi en service ou en phase de pré-exploitation sur les tramways T9, T11 Express, T12 Express, T13 Express.
« Ce contrat emblématique marque une étape significative dans notre parcours en Île-de-France et témoigne de notre expertise reconnue dans l’exploitation des métros automatiques », réagit Marie-Ange Debon, présidente du directoire du groupe français, filiale de la SNCF (70 %) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (30 %). Entretien.
La ligne 16 ne doit entrer en service qu’à partir de 2026. Concrètement, qu’est-ce que Keolis va mettre en place d’ici là ?
MARIE-ANGE DEBON. Nous sommes dans une phase assez classique pour des lignes nouvelles. Ces deux contrats sont très phasés dans le temps. Nous commencerons par la gestion de Saint-Denis - Pleyel. Pour nous, cela consiste à recruter, à prendre en mains les outils, et mener des marches à blanc.
Avoir en charge l’exploitation de Saint-Denis - Pleyel, en quoi cela consiste-t-il ?
Dans le contrat, il y a un certain nombre de stations dont nous assurerons l’ensemble des prestations. C’est-à-dire la propreté, le fonctionnement des équipements, l’éclairage, l’information des voyageurs… Tout ce qui fait la vie de la station. Nous allons progressivement recruter et former des gens, avec des managers de proximité.
Qu’est-ce qui a fait la différence à votre avis pour emporter ce premier marché du Grand Paris Express ?
Certainement la qualité technique de nos prestations, et notre capacité à gérer l’ensemble d’un métro automatique. Il est vrai que les gens ne le savent pas en région parisienne, mais nous sommes de très loin le principal opérateur de réseaux automatiques dans le monde. L’expérience que nous avons développée en France et ailleurs nourrit nos savoir-faire.
Avez-vous déjà exploité une infrastructure de métro neuve, ce qui est souvent assez délicat ?
Oui bien sûr. Cette expérience remonte à loin, avec la première ligne de métro automatique à Lille (Nord) il y a quarante ans. Depuis, bien sûr, les technologies ont évolué. Nous avons lancé la deuxième ligne du métro de Rennes (Ille-et-Vilaine) en septembre 2022. C’est un travail de plusieurs années de préparation. Nous avons aussi lancé d’autres réseaux, comme à Doha, au Qatar.
Keolis est notamment présent à Dubaï.
À Doha, vous co-exploitez le métro avec RATP Dev. Allez-vous faire de même pour le Grand Paris Express, dont la maintenance de l’infrastructure incombera à la RATP ?
Il y a deux sujets différents. Sur un territoire donné, il peut bien sûr y avoir plusieurs opérateurs. C’est le cas par exemple à Londres (Royaume-Uni), où l’autorité Transport For London (TFL) a confié des lignes de métro à plusieurs opérateurs. Donc c’est possible. En revanche, c’est ce qui est différent dans le cas du Grand Paris Express et qui nous avait beaucoup interpellés, c’est qu’en général la maintenance de l’infrastructure d’un métro automatique est confiée à l’opérateur qui exploite le matériel roulant. Ici, le législateur a décidé de confier la maintenance du réseau à la RATP. C’est un cas unique. Nous aurons à cohabiter avec le gestionnaire d’infrastructure, un peu comme le fait SNCF Réseau avec les opérateurs de train. Cependant, grâce aux discussions avec IDFM, nous avons réussi à être à l’aise sur ce sujet. Nous avons eu l’occasion d’échanger tout au long du processus. Il y aura des protocoles opérationnels pour bien clarifier les responsabilités de chacun.
La ligne 14, exploitée par la RATP, sera la première à arriver à Saint-Denis - Pleyel. Là aussi, avez-vous un protocole de collaboration précis ?
Oui. À partir du moment où les périmètres sont clairement définis, cela fonctionne très bien.
Le Grand Paris Express est-il un gros marché pour vous ?
Cela représentera entre 40 et 50 millions d’euros par an, ce qui est relativement modeste à l’échelle du groupe. Mais c’est surtout une magnifique référence. Nous sommes satisfaits que notre savoir-faire soit reconnu. Nous entendons parfois des commentaires difficiles pour nous, alors que nous avons une vraie expertise sur de nombreux métiers. Ces compétences ne sont pas toujours connues car la notoriété de la RATP est plus grande.
20
Juin
2023
23:20
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