En ce moment, les opérateurs vivent sur leurs réserves (ou fonds propres, question de terminologie).
Quand celles (ou ceux)-ci s'épuiseront, se posera la question de travailler à perte : c'est à dire, de s'endetter auprès des banques pour fournir le service. Je vous parie mes dread-locks que la réponse sera négative, et qu'ils mettront au chômage le personnel de leurs réseaux franciliens.
A moins qu'IDFM ne trouve les fonds d'ici-là, nous courrons vers l'arrêt des transports public dans toute la région. Désolé d'être catastrophiste, mais je ne vois pas d'autre issue.