Complètement d'acord avec Killerbus. Les bandeaux permettaient d'identifier facilement les lignes, et c'est vrai que pour les amoureux des bus parisiens que nous sommes, ils faisaient partie de nos centres d'intérêt. J'aimais bien comparer les polices de caractères, qui ont changé plusieurs fois depuis les années 50, la manière plus ou moins précise de détailler les points principaux de passage, les couleurs... La RATP nous y a un peu préparés avec les bandeaux plastique illisibles et minables après plusieurs lavages.
Enfin, pour les usagers, je pense que c'est une régression, même si Paris faisait exception.